Le concept de "deux poids, deux mesures" est une réalité tangible qui reflète les inégalités et les injustices présentes dans notre société. Cette disparité de traitement est exacerbée par des facteurs tels que la notoriété, l'influence et l'accès aux moyens de communication, qui confèrent un avantage indéniable aux personnalités publiques et aux institutions.
La différence de notoriété et d'influence entre les différentes parties en présence crée un déséquilibre flagrant dans la manière dont les comportements sont jugés et sanctionnés. Les personnalités publiques et les institutions jouissent d'une tribune médiatique puissante et d'une impunité, leur permettant de diffuser leurs messages à grande échelle et d'exercer un contrôle sur l'opinion publique. Cette légitimité supposée renforce leur position dominante, les plaçant au-dessus des simples citoyens dans la hiérarchie de la parole publique, ce qui n'est pas acceptable pour nous !
L'avènement des moyens de communication modernes a renforcé ces disparités, offrant aux personnalités publiques et aux institutions une plateforme médiatique inégalée. Grâce à la télévision, la radio, la presse écrite et les réseaux sociaux, ils peuvent toucher des audiences massives en un instant, consolidant ainsi leur pouvoir et leur influence sur la société, mais pas nous et encore moins le groupe "LA RE(LOVE)UTION DU SALON" visé aujourd'hui dans un procès déloyal.
Il est toutefois essentiel de ne pas banaliser le cyberharcèlement, qui se caractérise par des actions répétées et intentionnelles visant à nuire, humilier ou menacer autrui. Les simples échanges de messages ne constituent pas automatiquement du harcèlement, à condition qu'ils ne soient ni malveillants ni insistants, ce qu'ils n'ont jamais fait et ils ont tenté de l'expliquer en vain...
Face à cette situation, il est primordial de défendre le droit fondamental à la liberté d'expression et au débat contradictoire. Les membres du groupe "LA RE(LOVE)UTION DU SALON" ont légitimement cherché à ouvrir le dialogue et à obtenir des réponses, mais ont été confrontés à un mur de silence. Contraints par cette absence de dialogue, ils ont dû intensifier leurs actions pour faire entendre leur voix, dans le but légitime de se faire entendre et de participer au débat public.
La justice à deux vitesses qui ressort de cette affaire est alarmante, avec une impunité flagrante pour certains et des condamnations injustes pour d'autres. Il est essentiel de ne pas rester passif face à de telles injustices, mais plutôt de continuer à lutter pour la liberté d'expression, la justice équitable et le respect des droits fondamentaux pour tous. Le combat pour la justice et l'égalité doit continuer, non seulement pour David et le groupe, mais pour l'ensemble de la société qui aspire à une plus grande transparence, équité et liberté.
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