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Un procès vous dites ?

Dernière mise à jour : 15 janv.

Le compte rendu de la première audience du 13 janvier révèle un parti pris manifeste de la part de la juge, qui aurait dû rester neutre mais s'est clairement comportée en avocate des plaignants. Cette partialité a été mise en lumière par l'acharnement continu envers les accusés, laissant peu de place à la défense. Les avocats des plaignants semblaient même superflus face à l'attitude partiale de la juge. Seul le procureur a su maintenir une certaine impartialité en posant des questions pertinentes sans outrepasser ses fonctions.


Le point culminant de l'absurdité a été atteint lorsque Sacha Daout s'est présenté comme victime, ignorant totalement les torts qu'il avait lui-même causés pendant la crise. Cette attitude amnésique a été particulièrement frappante et a suscité l'incrédulité parmi les observateurs de l'audience. De plus, le fait que les contribuables financent généreusement ce procès biaisé, ainsi que le constat que les parties plaignantes sont toutes issues ou financées par le secteur public, ajoutent une dimension ironique à la situation.


Il est indéniable que cette audience a mis en lumière un jugement préconçu et partial, en contradiction avec les principes fondamentaux de la justice. Le droit des citoyens à un procès équitable devant des instances publiques a été bafoué, transformant cette audience en une sorte d'inquisition visant à réduire au silence toute opposition. Il est impératif de mettre en lumière ces dysfonctionnements pour garantir l'équité et la transparence dans le système judiciaire.


Le procès, initialement prévu pour durer deux jours, a été écourté, la deuxième journée ayant été annulée car les plaignants n'avaient plus rien à ajouter. Cette situation laisse penser que tout était planifié à l'avance. Le verdict de cette affaire sera rendu le 10 février.








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