Ah, la variole du singe, ou comme on aime l'appeler maintenant, "mpox" ! Il semblerait que ce virus annoncé en décembre 2023, se soit décidé à quitter ses origines exotiques pour se faire une place dans le grand cirque de la santé mondiale. L'OMS, toujours en quête de nouveaux spectacles, a encore une fois pris les rênes, et bien sûr, a demandé 135 millions de dollars pour financer cette nouvelle crise sanitaire. Ce montant, on peut le voir comme une sorte de jackpot pour les laboratoires, qui se frottent déjà les mains à l’idée des profits qu’ils vont encaisser.
Les conseils lumineux de l’OMS : un mode d'emploi pour la panique du mpox
Vous trouvez les recommandations de l'OMS aussi claires qu'un brouillard londonien en plein milieu de la nuit ? L'OMS nous informe que le mpox se transmet principalement par “contact étroit”. Traduction : si vous partagez un espace avec quelqu’un, que vous lui faites un clin d’œil ou même que vous respirez le même air, vous êtes potentiellement en danger ! C’est tellement clair que l’on se demande si l’OMS a engagé une équipe de dramaturges pour rédiger ces recommandations.
Mais ne vous inquiétez pas, la transmission par gouttelettes est apparemment insignifiante. Donc, la prochaine fois que vous éternuez sur une mouette, rappelez-vous quand même que vous êtes encore en sécurité !
La grande vaccination : quand crise et opportunité financières se rencontrent
Mais ce n’est pas tout. L’OMS a décidé de lancer une campagne de vaccination express contre le nouveau variant du mpox. Et la France suit bien les règles du jeu avec ces 232 centres de vaccination ouvert depuis le 21 août. Avec une telle urgence, il est presque surprenant qu'ils n’aient pas ajouté une déclaration d'urgence de santé publique internationale pour chaque cas de rhume.
Bien sûr, on parle ici des groupes les plus vulnérables – enfants et travailleurs de la santé. Vous savez, ceux qui sont toujours au front. Ajoutez à cela une déclaration d’urgence mondiale, et vous avez le parfait cocktail pour transformer une situation déjà grotesque en une série de manœuvres diplomatiques et financières. Une enveloppe conséquente pour la vaccination pourrait bien être le petit bonus qui fait sourire les bureaux de l’OMS.
Propagande et viralité : un virus prêt pour les réseaux sociaux ?
Ah, la propagande ! Le véritable virus ici semble être la manière dont le mpox est vendu au public. Ce virus, essentiellement transmis par contact sexuel ou cutané, se retrouve soudainement en tête d’affiche des actualités mondiales, avec une insistance presque comique sur le fait que les 5 % d'homosexuels sont les principaux vecteurs. Les chiffres sont présentés comme une série TV où les épisodes de contagion sont suivis de réductions saisonnières.
La meilleure blague ? Si le virus est tellement dangereux pourquoi cette suggestion de ne pas fermer les frontières pour éradiquer le virus ? Et pourquoi ne pas recommander des vaccinations spécifiques pour les voyageurs se rendant dans des pays à risque ? Pardon, j'avais oublié, cela priverait les labos d'une vaccination massive. Les autorités continuent de nous rassurer avec des stratégies qui rappellent les bons vieux jours de la COVID-19, où fermer les frontières ne semblait pas être adapté.
En fin de compte, ce grand cirque sanitaire nous laisse une question cruciale : à quand le prochain épisode où la pandémie se transformera en blockbuster financier pour les laboratoires et l’OMS ? Ah non, pardon cela est déjà le cas, avec l'Institut Pasteur qui est dans les starting blocs. Préparez-vous pour un spectacle où le vrai virus est peut-être la propagande elle-même. La prochaine saison promet d'être aussi divertissante que les précédentes.
Citation
"Quand le mpox se transforme en vedette de la panique mondiale, on se demande si le véritable virus n'est pas la propagande."
Exprimez-vous !
Pensez-vous que les campagnes de peur autour du mpox sont justifiées ou que nous assistons simplement à un remake de la crise COVID-19 avec une touche de profitabilité ? Partagez vos réflexions en commentaire !
Comments