Ah, Joe Biden, ce sage patriarche de la politique américaine, qui jongle entre ses discours hésitants et ses décisions explosives. Dimanche 17 novembre, il a calmement ouvert les portes de l’enfer en autorisant l’Ukraine à frapper la Russie "en profondeur" avec les missiles américains ATACMS. (source : Le Figaro) Résultat ? Une escalade militaire qui ferait pâlir de jalousie Michael Bay.
Le feu vert de Joe Biden : un permis de chaos
Avec un sourire bienveillant et une posture de grand-père qui distribue des bonbons, Joe Biden vient de transformer un conflit déjà catastrophique en un véritable champ de mines. En autorisant l’utilisation de missiles capables de frapper à 300 kilomètres de distance, il offre à l’Ukraine un jouet aussi dangereux qu’un cocktail Molotov dans les mains d’un pyromane.
Mais ne soyons pas cyniques : cette décision n’a rien d’improvisé. C’est un calcul, une dernière pirouette géopolitique avant que Trump ne revienne peut-être au pouvoir avec son obsession pour les murs (cette fois, peut-être un mur autour de l’Ukraine ?). Biden, sentant la fin de son mandat approcher, a décidé de marquer l’Histoire. Et quoi de mieux qu’une bonne vieille escalade militaire pour laisser une empreinte durable, voire radioactive ?
Conséquences : bienvenue dans la confrontation directe
Pour Vladimir Poutine, cette décision américaine est la goutte de vodka qui fait déborder le samovar. Jusqu’ici, les frappes ukrainiennes sur le territoire russe étaient tolérées, car elles s’appuyaient sur des missiles franco-britanniques. Mais là, avec des armes américaines, la donne change. Ce n’est plus l’Ukraine qui tire, c’est l’Otan qui prend la main.
Poutine l’a dit lui-même : "Cela change totalement la nature du conflit." Traduction : préparez-vous à des représailles bien corsées. Entre les soldats nord-coréens envoyés en renfort et l’armée russe qui se prépare à un assaut massif, le jeu est passé en mode "armageddon". Et si les frappes ukrainiennes touchent des zones stratégiques comme les champs pétroliers russes, on peut dire adieu à l’équilibre précaire du marché mondial. Bonjour les prix de l’essence à 5 euros le litre !
Biden : sauveur ou pyromane ?
En prenant cette décision, Biden s’imagine sans doute comme un héros qui défend la liberté et la démocratie. Mais sur le terrain, la réalité est tout autre. Cette escalade risque de pousser Poutine à multiplier les provocations, voire à dégainer ses propres "cadeaux" nucléaires. Et l’Ukraine, déjà à genoux, se retrouve transformée en champ de bataille global où tout le monde joue les gros bras.
Certains observateurs évoquent même une "confrontation directe entre la Russie et l’Otan". Autant dire que ce conflit localisé vient de franchir une ligne rouge, ou plutôt une ligne de missiles. Et pendant que les grandes puissances se disputent, qui paiera la note ? Les citoyens, bien sûr. Qu’il s’agisse des Ukrainiens pris en étau, des Russes sacrifiés pour les ambitions de leur leader, ou du reste du monde qui subira les conséquences économiques.
Et maintenant ?
La question qui reste en suspens : Biden a-t-il mesuré les conséquences de sa décision ? Ou bien est-il simplement en train de préparer le terrain pour son successeur, qu’il s’agisse de Trump ou d’un autre ? Une chose est sûre : en donnant ce feu vert, il n’a pas seulement ravivé le conflit, il a ouvert une boîte de Pandore nucléaire dont personne ne connaît l’issue.
Alors, chers spectateurs du drame mondial, sortez les popcorns (tant qu’ils ne sont pas contaminés par des retombées radioactives) et préparez-vous à une suite qui risque de faire date dans l’Histoire. Après tout, que serait une fin de mandat sans un bon petit chaos mondial ? Merci, Joe, pour ce feu d’artifice improvisé. On n’en attendait pas moins.
Citation
"Le feu vert de Biden, ou comment transformer un conflit régional en guerre mondiale."
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Derrière Biden ce sont les Ashkénazes Rockefeller et Rothschild qui veulent stratégiquement l'Ukraine avec un hégémonisme fragilisé par une technologie russe inattendue, hier le Kinzhall, maintenant l'Oreshnik et demain quoi d'autre ? Washington espérait contraindre Moscou à un dialogue par la menace des missiles à moyenne portée et d'autre part envenimer la situation pour empêcher tout règlement par Trump. La réponse du missile Oreshnik va imposer une action militaire directe de l'Angleterre, France, Allemagne et Pologne qui se rendent compte que la situation de Kiev est perdue. Cela étant un arrêt de Scotus est attendu dans le dossier Brunson pour la fraude, avec ce qu'il risque d'entraîner cela modifiera complètement la position américaine et Trump ne pourra plus prêter serment si la lo…