
Vous pensiez tout savoir sur la vaccination Covid et ses conséquences ? Accrochez-vous, car la conférence donnée à Vierzon réserve des révélations qui pourraient bien bousculer les certitudes. Entre analyses de données officielles et corrélations troublantes, Hervé Seligmann présent sur place a détaillé avec une précision chirurgicale des phénomènes que personne ne voulait voir : le shedding vaccinal et ses conséquences alarmantes.
Shedding : quand les chiffres parlent (et qu'on préfère les ignorer)
Dès les premières minutes, le ton est donné. Notre conférencier, armé de chiffres et de graphiques issus de bases de données officielles (Statistique-Rostad, OMS, laboratoires de Harvard), met en évidence un phénomène passé sous silence : plus le taux de vaccination d’une classe d’âge augmente, plus la mortalité globale suit la même trajectoire.
Ce qui aurait dû être une alerte sanitaire majeure est resté lettre morte. Pire encore, certaines tendances montrent que les effets indésirables ne se limitent pas aux personnes vaccinées, mais touchent aussi les non-vaccinés via ce que l’on appelle le shedding. Un transfert involontaire de substances biologiques, déjà observé dans le domaine vétérinaire, qui semble ici se manifester chez l’humain à une échelle sans précédent.
Ados, cancers et autres surprises malvenues
Autre constat glaçant : les injections chez les adolescents (10-17 ans) seraient en première ligne dans le mécanisme du shedding. Un métabolisme rapide, une transpiration importante, et surtout une capacité à diffuser involontairement certaines particules. En clair, les jeunes injectés pourraient être des vecteurs majeurs d'effets secondaires chez les autres.
Et comme si cela ne suffisait pas, le chercheur présente des données liant l’augmentation de certains cancers à des pics de vaccination. Cancers du larynx, du pharynx, du rectum… Autant d’éléments corrélés aux taux de vaccination des jeunes adultes. En creusant un peu plus, il évoque une transmission potentielle via les fluides corporels. Rassurant, non ?
Hervé Seligmann dévoile tout : les données cachées, des autopsies ignorées
Au fil de la conférence, une question récurrente revient : pourquoi ces analyses ne font-elles pas la une des journaux ? La réponse tient en un mot : censure. Certains laboratoires de recherche ont cessé de publier des données post-2021, rendant toute nouvelle étude plus difficile. Les chiffres de mortalité autrefois accessibles se sont volatilisés, comme par hasard.
Les rares scientifiques qui osent analyser ces phénomènes sont marginalisés, voire poursuivis. Pendant ce temps, les discours officiels continuent de marteler que "tout est sous contrôle". Mais alors, pourquoi observe-t-on encore des excès de mortalité bien après la fin des campagnes de vaccination massives ?
Alors, on regarde ou pas ?
Si vous pensez que "la science est figée", que "les vaccins ne peuvent pas avoir d'effets indésirables sur les non-injectés" ou que "tout est une coïncidence", alors cette vidéo risque de bousculer votre vision du monde.
Une seule chose à faire : la regarder et en tirer vos propres conclusions.
Préparez-vous, certaines vérités sont plus dérangeantes que d'autres.
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